Ecologie, alimentation, social… pour nombre de jeunes, si le travail reste une valeur « centrale », cet engagement passe par les causes qu’ils défendent et donnent du sens à leur vie, quitte à être moins bien payés.
Nombre d’entre eux optent pour un travail « militant », qui leur permet de gagner leur vie tout en défendant une cause qui leur est chère.
Une quête de sens qui peut se traduire via trois dimensions : celle du faire (tenir un délai, monter en compétence, apprendre…), de l’avoir (rémunération, évolution, promotion) et de l’être (satisfaction au travail, se sentir utile).
Hannah Arendt dans son Condition de l’homme moderne recommandait déjà de « donner au travail une finalité plus digne , pour valoriser l’action, qui se distingue du travail dans le sens où elle ne répond pas à une fonction utilitariste (gagne-pain)« .
Ainsi, ses jeunes recherchent dès le début de leur vie professionnelle à trouver du sens dans leur travail, à l’humaniser et lui donner une finalité éthique qui dépasse le cadre opérationnel.
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