À l’ère de la « mobiquité », les freelances ont un temps d’avance.

Publié le 15/06/2020
Par Marie Grenouilleau

Après la grève, une pandémie mondiale.
Ces événements majeurs ont progressivement remis en question un des aspects ancestraux de la culture d’entreprise : la présence dans un bureau physique.

La nouvelle norme ne serait-elle pas de travailler partout, sauf au bureau ? Sur ce point, nos amis freelances, agiles et indépendants, ont alors un temps d’avance.

Né de la fusion des mots mobilité et ubiquité, la mobiquité correspond au concept d’ATAWAD (“AnyTime, AnyWhere, AnyDevice, AnyContent”). Il décrit la capacité d’un usager à se connecter à un réseau sans contrainte de temps, de localisation, ou de terminal.

Le « boulot » n’est plus un endroit où se rendre, mais une tâche à accomplir

Résultat : l’emploi est de plus en plus fragmenté, collaboratif, individualisé et à la carte. Une aubaine pour les freelances, experts en la matière.

Sphère privée et professionnelle se sont de plus en plus flou et se confondent. L’équipement personnel autorise les communications privées au bureau. La mobilité et l’accès au cloud de l’entreprise favorisent le travail à domicile.

Le lieu de travail devient davantage un lieu de socialisation (réunions, échanges avec ses collègues) que de travail, qui se fait soit à domicile, à distance ou dans des espaces de coworking.

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